Manhattan Sunset de Roy Braverman

Ça déménage

Voilà, j’ai déménagé. Déballé mes cartons. A peu près tout organisé. Perdu deux chats, sur trois (SNIF ! SNIF!)

Cependant j’ai l’impression que tout reste à faire : aménager le jardin, prévoir des améliorations dans la maison (qui en a bien besoin), gérer l’administratif (encore!!), comme les changements d’adresse.

Cependant je veux reprendre une activité normale, lire en fait partie.

Reprendre la couture du cuir, aussi, est un objectif à court terme.

Et me familiariser avec mon nouvel environnement.

Alors pour commencer une petite mise à jour dans mes avis de lecture, au sujet de Manhattan Sunset de Roy Braverman :

Je devais reprendre ma critique une fois terminée ma lecture du livre, car ayant reçu celui-ci dans le cadre d’une masse critique, je me devais de respecter le délai d’un mois imparti pour publier mon avis. Or, débordée par les préparatifs de mon déménagement je n’étais pas allée au bout de cette histoire.

Je ne renie rien de ce que j’avais écrit précédemment et que vous trouverez ci-dessous, entre les crochets :

[Quelques lignes, car je suis arrivée au bout du délai imparti pour rédiger mon avis dans le cadre de la masse critique qui m’a permis d’obtenir ce livre.
Je n’ai pas encore fini ma lecture mais c’est lié à ma situation personnelle et pas au livre : débordée par une invasion de cartons dans mon salon, je n’ai pas réussi à trouver le temps. Et c’est regrettable car ce roman mérite de l’attention. Dans deux sens :
Construit en chapitres courts, de nombreux personnages s’y succèdent, requérant notre attention pour les situer rapidement.
Avec de l’action, une situation complexe, un humour de situation un peu décalé, des personnages aux caractères bien trempés, une originalité dans le ton (des digressions culinaires par exemple).

Un livre qui vaut le coup d’être lu, forcément, puisque c’est bien avant même que j’en sois arrivée au bout.
Je laisse donc ce commentaire maintenant, mais je compléterai certainement une fois terminée ma lecture.

Merci à Babelio d’organiser masse critique et aux éditions Hugo Publishing d’y participer.]

Et j’ajoute :

La fin est un peu compliquée tout de même ; pas le dénouement en lui-même mais l’histoire se complexifie avec beaucoup de personnages, des raisons d’agir qui se télescopent. Ce qui ne gâche rien : le style reste original dans l’écriture, les dialogues, les personnages.

L’idée de dibbuk est bonne et bien exploitée.

Un auteur que je retrouverai volontiers, même si cela risque d’être difficile d’être toujours au rendez-vous, selon la casquette de M. Manoukian.

Laisser un commentaire