A défaut de pouvoir faire du sport (quoique je n’en faisais pas tellement avant…) on peut lire et je suis dans une période où j’ai envie de lire plein de trucs. A commencer par ce que j’ai à la maison et que je n’ai pas encore lu ; et là, j’ai de quoi faire !
Ci-dessous d’ailleurs, je vous donne mon avis sur Balle de match, un livre que j’ai dans ma bibliothèque depuis quelques années déjà.
Pourquoi avoir des livres sans les lire, me direz-vous (peut-être).
Parfois ce sont des « lots » de livres récupérés et quand arrivent une centaine de titres d’un coup, vous ne les lisez pas tous à la suite.
Parfois ce sont des livres pour Jules, mais qui ne m’intéressent pas de prime abord.
Parfois ce sont des livres présents depuis tant de temps dans ma bib que je ne sais plus pourquoi ils sont là.
Parfois, ce sont des livres offerts « commercialement », comme Balle de match ici, offert pour deux livres achetés. Je n’avais pas pris la peine de le lire sûrement pleine de l’a priori de la gratuité allant de pair avec la médiocrité. Et tout compte fait, ça a matché (quelle expression exaspérante ! C’est énervant, hein…?)
Nous voici plongés dans le milieu tennistique. C’est bien là un sujet qui ne m’intéresse pas du tout. Mais ne vous y trompez pas : ce livre est un polar et les considérations sportives, loin d’être ennuyeuses, restent en second plan et donnent un cadre concret et réaliste à l’enquête.
L’enquêteur est un agent sportif, Myron Bolitar. Tous les ingrédients sont là pour en faire un agréable livre de plage (oui, c’est une vue de l’esprit, la dernière fois que je suis allée à la plage c’était il y a une petite éternité déjà).
A coup sûr une valeur sûre donc.
Au suivant !
charge d'âme 